Comparaison des lois du mariage
entre la Torah, l'Évangile et le Coran

Quant à l'islam, nous constatons que la loi de l'épouse unique n'est pas nécessairement comme dans :

Sourate An-Nisa {3} Et si vous redoutez de ne pas être justes envers les orphelins, alors mariez ce qui vous plaît parmi les femmes deux, trois ou quatre ; mais si vous craignez de ne pas être équitables, alors [épousez] une seule ou celles que possèdent vos mains droites….

Sourate Al-Ahzab {50} Ô Prophète, Nous t'avons rendu licites tes épouses auxquelles tu as donné leur dû et celles que possèdent ta main droite parmi ce qu'Allah t'a accordé, ainsi que les filles de tes oncles paternels et les filles de tes tantes paternelles et les filles de tes oncles maternels….

Et nous demandons, pourquoi ce changement ? Et pourquoi la différence de principe ?

Dès le commencement, le Seigneur Dieu a prescrit que la femme soit une aide pour son mari, non pour son plaisir : Alors pourquoi le Prophète a-t-il épousé l'enfant Aïcha quand elle avait 3 ans et qu'il avait 50 ans, et consommé le mariage avec elle quand elle avait 9 ans, alors qu'elle avait besoin de quelqu'un pour la soutenir ? Elle devrait être une partenaire, c'est-à-dire adaptée à lui et capable de communiquer avec lui afin qu'ils puissent accomplir le chemin de la vie dans la crainte de Dieu. De plus, le dixième commandement dans la Torah "Tu ne convoiteras pas la maison de ton prochain. Tu ne convoiteras pas la femme de ton prochain ni son serviteur mâle ni sa servante ni son bœuf ni son âne ni rien de ce qui appartient à ton prochain. Pourtant le Prophète désira Zaynab bint Jahsh, l'épouse de son fils adopté Zayd, lorsqu'il leur rendit visite et vit Zaynab en détresse, et il l'épousa après qu'elle eut divorcé et l'abolition de l'adoption. Pourquoi ces principes ont-ils différé dans l'islam, les plus graves étant les suivants qui ne concordent pas du tout avec les principes du mariage que Dieu a ordonnés.

Deutéronome 24: 1-4 "Si un homme prend une femme et l'épouse, et si elle ne trouve pas grâce à ses yeux parce qu'il a découvert chez elle quelque indécence, et qu'il lui écrit un acte de répudiation, le lui remet en main, et la renvoie hors de sa maison, 2 et après qu'elle est partie de sa maison elle va et devient l'épouse d'un autre homme, 3 et si ce dernier mari la déteste et lui écrit un acte de répudiation et le met en sa main, ou s'il meurt; 4 alors son ancien mari qui l'a renvoyée ne pourra plus la reprendre pour être sa femme après qu'elle a été souillée. Car c'est une abomination devant le Seigneur. Tu n'introduiras pas le péché sur le pays que le Seigneur ton Dieu te donne en héritage.

Sourate Al-Baqara: 229 Le divorce est prononcé deux fois ; ensuite [il doit y avoir] soit la rétention de manière convenable, soit la libération avec bonne conduite. Et il ne vous est pas permis de reprendre quoi que ce soit de ce que vous leur avez donné, à moins que tous deux ne craignent de ne pas pouvoir observer les limites d'Allah ; mais si vous craignez qu'ils ne puissent les observer, alors il n'y a pas de péché pour l'un d'eux concernant ce par quoi elle se rachète. Telles sont les limites d'Allah, ne les transgressez pas ; et quiconque transgresse les limites d'Allah — ce sont eux les injustes. {230} Et si il la divorce [pour la troisième fois], elle ne lui est plus permise ensuite jusqu'à ce qu'elle épouse un autre mari et si celui-ci la répudie, alors il n'y a pas de péché pour eux à se remettre ensemble s'ils pensent pouvoir observer les limites d'Allah. Telles sont les limites d'Allah ; Il les clarifie pour un peuple qui sait.

Mise en œuvre du châtiment pour l'adultère

Le Coran prescrit la lapidation des adultères, mais nous constatons que le Prophète, que la paix et les bénédictions d'Allah soient sur lui, a appliqué cette loi dans deux cas où ils se sont repentis auprès de Dieu et ont demandé purification, et dans deux cas il ne les a pas [lapidés] et les a laissés à la fornication, et dans le cinquième cas il prononça la lapidation parce que l'adultère avait été prouvé, conformément à la loi mosaïque comme suit :

Ceci est établi dans Sahih Muslim et d'autres d'après le récit d'Ubadah ibn As-Samit, qu'Allah soit satisfait de lui, que Ma'iz ibn Malik al-Aslami vint au Messager de Dieu et dit : (Ô Messager de Dieu, purifie-moi.) Le Prophète dit : "Malheur à toi, retourne et cherche le pardon de Dieu et repens-toi." Il partit et revint bientôt et dit : Ô Messager de Dieu, purifie-moi. Le Prophète, paix sur lui, dit la même chose jusqu'à la quatrième fois. Il lui dit : "De quoi dois-je te purifier ?" Il dit : De l'adultère. Le Prophète demanda : "Est-il fou ?" On lui répondit qu'il n'était pas fou. Il dit : "A-t-il bu du vin ?" Un homme se leva, sentit son haleine, et ne trouva pas l'odeur du vin. Le Prophète demanda : "As-tu commis l'adultère ?" Il dit : Oui. Alors il ordonna qu'il soit lapidé

La femme de Ghamidiyyah vint et dit : (Ô Prophète de Dieu, j'ai commis l'adultère, et je veux que tu me purifies.) Il lui dit : "Retourne." Le lendemain elle revint encore et avoua l'adultère et qu'elle était enceinte. Le Prophète lui dit : "Retourne jusqu'à ce que tu accouches." Lorsqu'elle eut accouché, elle apporta le garçon enveloppé dans un linge et dit : Ô Prophète de Dieu, j'ai accouché. Il dit : "Allaite-le puis sevre-le." Lorsqu'elle l'eut sevré, elle rapporta le garçon : Ô Prophète de Dieu, je l'ai sevré. Alors le Prophète ordonna au peuple de la lapider

Les Juifs vinrent au Messager de Dieu et dirent qu'un homme d'entre eux et une femme avaient commis l'adultère. Le Messager de Dieu leur demanda : Que trouvez-vous dans la Torah concernant la lapidation ? Ils dirent : Nous les exposons et les fouettons. Abdullah ibn Salam dit : Vous mentez ; en effet il y a la lapidation dedans. Ils apportèrent la Torah et l'étendirent, et l'un d'eux posa sa main sur le verset de la lapidation puis lut ce qui venait avant et après. Abdullah ibn Salam dit : Retirez votre main, et il retira sa main, et voici le verset de la lapidation. Ils dirent : Tu as dit la vérité, ô Muhammad ; elle contient bien le verset de la lapidation. Alors le Messager de Dieu — que les prières et la paix de Dieu soient sur lui — ordonna que les deux soient lapidés

Rapporté par Abu Dawud (2049) et An-Nasa'i (3229) d'Ibn Abbas qui dit : Un homme vint au Messager de Dieu et dit : J'ai une épouse qui est parmi les plus aimées des gens pour moi, et elle n'empêche pas la main d'un homme qui la touche. Il dit : Divorce-la. Il dit : Je ne peux supporter de la quitter. Il dit : Profite d'elle >>>

Signifiant que la femme qui ne repousse pas la main de celui qui la touche consent à des relations sexuelles avec lui.

112907 : Une interdiction pour celui qui a été longtemps absent de sa femme de venir à elle soudainement : Ibn Abi Jamrah a dit que cela contient une interdiction pour un voyageur d'arriver à sa famille de façon inattendue sans les avertir auparavant de son arrivée, et la raison en est ce qui est indiqué dans le hadith. Il a dit : Certains s'y sont opposés et ont trouvé un homme avec sa femme, et il fut puni pour cette contradiction.

L'Évangile nous raconte deux incidents dans lesquels l'adultère fut avoué et comment le Christ les traita avec compassion et miséricorde, leur donnant la possibilité de se repentir :

Luc 7: 36-50. Un des pharisiens le pria de dîner chez lui ; il entra donc dans la maison du pharisien, et se mit à table. Et voici qu'une femme de la ville, qui était pécheresse, ayant appris qu'il était à table chez le pharisien, apporta un flacon d'albâtre plein de parfum. Elle se tint derrière ses pieds en pleurant, et commença à arroser ses pieds de ses larmes, et les essuya avec les cheveux de sa tête, et elle baisa ses pieds, et les oignit de parfum. Voyant cela, le pharisien qui l'avait invité pensa en lui-même : "Si cet homme était un prophète, il saurait qui est cette femme qui le touche et ce qu'elle est : c'est une pécheresse." Jésus répondit et lui dit : "Simon, j'ai quelque chose à te dire." Il dit : "Dis, Maître." "Un créancier avait deux débiteurs ; l'un devait cinq cents deniers et l'autre cinquante. Comme ils n'avaient pas de quoi payer, il leur remit à tous deux leur dette. Lequel d'eux l'aimera le plus ?" Simon répondit : "Je suppose celui à qui il a remis la plus grosse dette." Il lui dit : "Tu as bien jugé." Puis il se tourna vers la femme et dit à Simon : "Vois-tu cette femme ? Je suis entré dans ta maison, tu ne m'as pas donné d'eau pour les pieds, mais elle a lavé mes pieds de ses larmes et les a essuyés avec ses cheveux. Tu ne m'as pas donné de baiser, mais, dès mon entrée, elle n'a pas cessé de baiser mes pieds. Tu n'as pas oint ma tête d'huile, mais elle a oint mes pieds de parfum. C'est pourquoi je te le dis, ses nombreux péchés lui ont été pardonnés, car elle a beaucoup aimé ; mais celui à qui l'on pardonne peu aime peu." Puis il lui dit : "Tes péchés sont pardonnés." Ceux qui étaient à table avec lui se disaient entre eux : "Qui est celui-ci qui même pardonne les péchés ?" Il dit à la femme : "Ta foi t'a sauvée ; va en paix."

Jean 8: 3 Les scribes et les pharisiens amenèrent auprès de lui une femme surprise en adultère ; et, la mettant au milieu, ils lui dirent : "Maître, cette femme a été surprise en flagrant délit d'adultère. Or, dans la loi, Moïse nous a ordonné de lapider de telles femmes. Que dis-tu ?" Ils disaient cela pour le tenter, afin d'avoir de quoi l'accuser. Jésus se baissa et écrivit du doigt sur la terre. Comme ils l'interrogeaient encore, il se releva et leur dit : "Que celui de vous qui est sans péché jette le premier la pierre contre elle." Puis il se baissa de nouveau et écrivait sur la terre. Et, l'ayant entendu, ils s'en allèrent l'un après l'autre, à commencer par les plus âgés ; et Jésus resta seul, ainsi que la femme qui était au milieu. Jésus se releva et lui dit : "Femme, où sont ceux qui t'accusaient ? Personne ne t'a condamnée ?" Elle répondit : "Personne, Seigneur." Et Jésus lui dit : "Moi non plus, je ne te condamne pas. Va, et ne pèche plus."

Veuillez ne pas m'appeler KAFER (mécréant) .